Ce ludospace Citroën de deuxième génération est d’autant plus séduisant que l’actuelle génération n’est plus proposée qu’en version électrique Ë-Berlingo. Restylé à deux reprises, en 2012 et 2015, il reçoit, comme son cousin le Peugeot Partner, la plate-forme des anciennes Citroën C4 Picasso et Peugeot 308.
Outre un confort très moelleux, tant côté sièges qu’amortissement, il jouit d’une habitabilité XXL. Proposant jusqu’à 7 places, il dispose d’un volume de chargement qui oscille de 650 litres à 5 à… 3 000 litres à 2. À 7, il tombe à 100 litres. L’accessibilité arrière est favorisée par ses deux portières latérales coulissantes, ici de série.
Agrément de conduite et comportement demeurent assez proches de ceux d’une berline. On retrouve sous son capot le petit 3-cylindres 1.2 litre PureTech 110 auquel les gros rouleurs préfèreront le sobre et coupleux 1.6 BlueHDi 120 ch.

Note de Fiabilité : 4 étoiles

Peu de pannes graves ; fiabilité améliorée au fil des millésimes.

Les problèmes les plus récurrents

• Moteur 1.6 HDi
  
  • dysfonctionnements de la vanne EGR ou du réservoir d’AdBlue, avec allumage des voyants d’alerte.
• Transmission
  
  • perte possible de traction, avant 2016 (arbre de transmission)
  • câble d’embrayage parfois fragile.
• Direction
  
  • claquements de la crémaillère.
• Amortisseurs avant bruyants, généralement lié à un problème de coupelles, à remplacer.
• Pneus
  
  • usure prématurée, surtout à l’arrière.
• Airbags
  
  • rappel (août 2010) pour remplacement partiel du faisceau.

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